Dites-vous que c'est de bonne guerre.

FUCKYEAH-THEOFFICE@TUMBLR

KENNISH, LANDON MATTHEW
~ bitch please, i'm a kind of princess. ~

curriculum vitae

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+ Age : 33 ans. + Date et lieu de naissance : 3 Août à New York, dans le New Jersey. + Occupation : Sous-chef du département juridique. + Traits de caractère : Qui pourrait avancer le fait que je trompe ma femme avec une fille qui a neuf ans de moins que moi ? Personne. En apparence je suis quelqu'un de très adulte, vous savez. Ce genre de personne qui attire les autres par leur confiance en soi, leur assurance, leur maturité, et surtout leur stabilité. Aux yeux de tous, je m'approche plus ou moins de la perfection. Attention ! Quand je dis perfection, je ne parle pas de l'être parfait sans défauts ni lacunes. Non, ça, c'est réservé à Dieu, et jamais je ne me permettrai de prétendre l'égaler. Je parle plutôt de l'être idéal que tout le monde rêve de devenir. La personne qui a réussi autant sur le plan social, professionnel et familiale. J'ai un des plus hauts postes de l'entreprise, et j'ai bâti une famille “parfaite”. Mais ça m'ennuie, et je sais que je ne suis pas du tout comme cela. Et non, je sais que vous êtes entrain de vous dire que si j'ai fait tout ça c'était pour satisfaire mes parents. Mais pas du tout. Tout cela, je l'ai fait pour moi. Pour cacher ce que je suis réellement. Cet éternel enfant qui vit dans la crainte de l'avenir, l'inquiétude de la mort, causant mon instabilité extrême. Je suis extrêmement lâche et égoïste, même si en société je me somme de faire bonne figure. Je suis jaloux de mon frère aussi. Mon frère qui représente tout ce que je voulais devenir. Ce côté un peu savant fou mais qui est digne d'un génie tel Einstein lui-même qui m'a fait toujours envie. Mais bon. Tout le monde sait que l'être humain se comporte différemment en société.

mandatory steps

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+ Depuis quand travaillez-vous chez Royce&Garth Enterprises, Inc ? Une dizaine d'années, légèrement moins. Si vous voulez plus de précisions, mais à quoi cela vous servirait-il de toute manière, je crois que cela fait huit ans. Et oui, j'ai grimé pas à pas les échelons du service juridique assez rapidement, et, croyez-moi, je ne tiens pas à rester au poste de sous-chef. Bien que cela ne soit pas des plus déplaisant.
+ Pourquoi avez-vous choisi cette entreprise ? Parce que c'était l'entreprise montante, ascendante, qui avait le plus de potentielle. J'ai d'abord fait des études de médecine dans le New Jersey, mais après avoir lamentablement échoué, et rencontré par la même occasion Cléo, nous nous sommes tous deux installés à Baltimore, et j'ai eu un travail ici.
+ Aimez-vous votre travail ? Oui et non. En apparence j'aime énormément mon job. Je suis le sous-chef que tout le monde aimerait avoir. Souriant, proche avec ses employés, aidant, attentif… Et puis, moi-même, je dois avouer que ce n'est pas des plus désagréables, je me prête très bien au jeu. Mais j'avoue que j'aurais préféré faire parti du service de graphisme, et m'amuser avec tous ces colorings... Mais non, ça, c'est le rôle de mon frère.

personal issues

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Matthew recracha cette fumée toxique et dévastatrice de sa cigarette mensuelle. La nuit commençait à tomber de plus en plus tôt, et étrangement, à l'inverse de la majorité de la population, il appréciait le froid qui descendait petit à petit parmi eux et se faisait de plus en plus présent, insistant, et mordant. La journée avait encore été éprouvante. Mais, au final, cela ne le dérangeait pas plus que cela. Au contraire, cela l'empêchait de penser, de sombrer dans l'ennui, ses problèmes, ou bien même ses pensées. Encore planté devant le bâtiment du siège de Royce & Garth Enterprise, et seulement vêtu de son éternel veste en cuir noir qui lui donnait un côté légèrement adolescent comme sa coupe coiffée décoiffée, des collègues lui donnèrent des tapes dans le dos, avant de lui sourire et de lui souhaiter une bonne soirée avec sa femme. Poli et jovial, il leur sourit en retour, mais, à dire vrai, il n'avait aucune envie de rentrer chez lui pour le moment. Ce n'est pas que cela se passait mal chez lui, mais il avait tendance à se sentir oppressé. Comme si en réalité il n'était pas à sa place. C'était sûrement pour cette raison qu'il faisait cette connerie, qui perdurait néanmoins depuis presque deux ans maintenant, avec la jeune Felix. Détrompez-vous, Matthew adorait énormément sa femme, plus que cela, il l'aimait. Et pourtant, il n'avait pas l'intention d'arrêter sa relation, couper les ponts avec la jeune fille. Cette idée ne lui avait jamais traversé l'esprit. Celle-ci s'accrochait à lui comme si sa vie en dépendait, elle était amoureuse, qu'il paraissait. Et même lui se suspectait d'avoir des sentiments pour elle, quasi réciproquement. Peut-être le même amour qu'il partageait avec sa femme, mais quelque chose de plus passionné, obsessionnel et possessif. Un philosophie disait que l'amour n'avait pas qu'un seul visage, mais que c'était un sentiment qui en traduisait en réalité plusieurs complètement différents l'un de l'autre. Et Matthew ne pouvait s'empêcher de penser qu'il avait bien raison. Et que cela compliquait la vie plus qu'autre chose. Si il aurait voulu une vie tranquille et sans obstacle ? Mmmh… Non, sûrement pas. Après tout, il aurait pu l'avoir cette vie, mais il avait délibérément choisi de la rendre plus compliqué. Donc, cela répondait bien à la question.
Ses pas l'avaient mené, presque inconsciemment, au bord du canal. Un endroit calme et tranquille, où il s'y sentait bien. Il marcha quelques minutes encore, ses pensées tournoyant et ricochant dans sa tête, jusqu'au bout d'un moment, où il enleva ses chaussures, ses chaussettes, et s'assit sur le bord en mettant les pieds dans l'eau froide. Il s'allongea en suite, les genoux pliés pour toujours être en contact avec le liquide transparent et lucide, et croisa ses bras sous sa tête, observant les premières étoiles lumineuses qui apparaissaient dans le ciel. Il ne savait même pas comment il en était arrivé là. À vrai dire, il se rendait juste peu à peu compte que le temps passait. Le temps se déroulait à une vitesse hallucinante, et il se re-voyait encore avec son look semi-punk déambulant dans les couloirs de son lycée. Il grimaça un sourire à ce souvenir comique. Il l'avait bien faite sa crise d'adolescence, comme toute personne normalement constituée et qui se respecte. Alors pourquoi de nouveau se rebeller à la trentaine ? C'était stupide ! Il y a la crise d'adolescence, et la crise de la cinquantaine. En tout cas, c'est ce qui se disait et ce qu'on apprenait. Mais finalement, sa vie, même si il était de fait plus calme aujourd'hui, n'avait pas tant changé. Son frère était toujours à ses côtés, et il avait toujours une vie en famille, même si les membres en étaient bien entendu changés. Son frère… Ce n'est pas qu'il le détestait, mais il l'avait toujours admiré. Et au final, cette admiration s'était transformée peu à peu en envie, puis en jalousie. Donc oui, si on lui demandait cash - et qu'il ne mentait pas comme d'habitude en prétendant qu'il l'aimait comme un grand frère se doit d'aimer et protéger son petit frère - s'il l'aimait, il répondrait qu'il le hait. Il le pensait, il le pensait vraiment. Mais néanmoins, ce n'était pas tout à fait vrai. Il avait l'impression de le détester, mais le fait était que ce n'était qu'une illusion. Il aurait voulu devenir comme lui, être le même type de génie, savant fou, et artiste qu'il l'est. Mais s'il devait lui arriver quelque chose, inconsciemment il ferait tout pour le protéger. Mais ne lui dîtes jamais, il se mettrait dans une colère noire.
À ses pensées négatives, il jeta une pierre dans le canal, alors qu'il essayait depuis tout à l'heure de faire des ricochets. Son téléphone sonna soudainement, et paresseusement, il l'attrapa dans sa poche de jean avant. Un grand sourire illumina son beau visage en apercevant le nom de son interlocuteur sur l'écran. Sa soirée n'allait sûrement pas être aussi platonique qu'il l'aurait d'abord pensé, finalement. « Allô, Felix ? »

you start on monday

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+ Pseudo/prénom : O.S.T : Objet Sexuellement Transmissible. + Age : I won't tell you anything. + Avatar : Le talentueux Jesse Spencer. + Un dernier mot : Booyah !